Une nouvelle étape pour la filière laitière : signature d’un contrat tripartite entre Intermarché, l’APLBC et le Groupe LSDH Le 9 octobre à Laval, Intermarché, l’APLBC (Association des Producteurs de Lait du Bassin Centre) et Groupe LSDH ont signé un nouveau contrat tripartite en lait de consommation.
Cette signature marque la première collaboration tripartite entre Intermarché et le Groupe LSDH, une étape importante pour consolider des modèles durables et équitables au sein de la filière laitière française.
En parallèle, un second contrat tripartite a également été conclu entre Intermarché, l’APLBC et Novandie pour la partie ultra-frais, témoignant d’un engagement collectif plus large au service de la filière.
Une signature au plus près des consommateurs
Pour la première fois, cette signature a eu lieu directement dans un magasin Intermarché, devant les clients, dans le point de vente de M. et Mme Jouzel à Laval. Un choix hautement symbolique, qui souligne l’importance du lien entre producteurs, transformateurs, distributeurs… et consommateurs.
La journée avait démarré sur l’exploitation de Lucette, Pierrick, Florian et Sébastien Hériveau, producteurs membres de l’APLBC, qui ont chaleureusement accueilli les partenaires pour partager leur quotidien et leur engagement.
Un immense merci à eux pour leur accueil et leur disponibilité, qui ont permis de rendre ce moment particulièrement fort et concret.
Une ambition commune : créer de la valeur dans la durée
Producteurs, industriels et distributeurs partagent ici une même ambition : créer de la valeur et assurer la pérennité de la production laitière en France. Ce contrat traduit une volonté commune de s’inscrire dans le temps long, en donnant de la visibilité et de la stabilité économique à tous les acteurs de la chaîne.
Des partenariats structurants pour la souveraineté alimentaire
Pour le Groupe LSDH, les contrats tripartites sont bien plus que des accords commerciaux. Ils représentent un levier essentiel pour soutenir les producteurs, renforcer les filières françaises et contribuer à la souveraineté alimentaire. En donnant de la visibilité dans la durée et en créant des relations de confiance avec l’ensemble des partenaires, ces contrats permettent de consolider des modèles agricoles durables, résilients et ancrés dans les territoires.
Des valeurs partagées
Ce partenariat s’appuie sur des valeurs fortes : le dialogue, la confiance, la transparence et la recherche du bien commun. Des principes qui guident depuis longtemps l’action du Groupe LSDH aux côtés des producteurs.
« Ce type de partenariat dépasse la simple dimension contractuelle. Il traduit une vision commune de l’avenir de notre filière et renforce la place des producteurs dans un modèle durable et structurant », souligne l’équipe Filières de LSDH.
À propos de l’APLBC
L’Association des Producteurs de Lait du Bassin Centre (APLBC) regroupe des éleveurs engagés dans des démarches collectives et contractuelles, avec une attention particulière portée à la durabilité et à la juste rémunération des producteurs.
Réduire le gaspillage et créer de la valeur.
Chaque année, entre 3 000 et 3 500 tonnes de clémentines corses sont transformées sur le site de L’Atelier Corse Fruits et Légumes à Linguizetta. Jusqu’à présent, ces fruits étaient souvent jetés alors qu’ils étaient parfaitement bons — leur seul défaut étant leur calibre ou leur aspect visuel. Grâce à ce partenariat tripartite, ces volumes seront désormais valorisés sous forme de jus, permettant aux producteurs de dégager une nouvelle source de revenus tout en réduisant considérablement le gaspillage alimentaire.
« Signer un accord sur des fruits qu’on écartait de nos champs parce qu’ils ne correspondaient pas aux standards du frais, et pouvoir avec ces fruits-là monter des partenariats, c’est d’abord prouver qu’on exprime le terroir corse, et ensuite qu’on peut pérenniser les exploitations », explique Vincent Marcadale, agrumiculteur associé à l’Atelier Corse. « Évidemment les niveaux de prix ne sont pas les mêmes, mais on parle de fruits qu’on jetait… sur lesquels même ça nous coûtait. »
Une filière structurée et durable
Ce contrat tripartite sur trois ans associe :
14 producteurs corses, cultivant sur 120 hectares,
Terre d’agrumes et L’Atelier Corse Fruits et Légumes, partenaires producteurs et transformateurs,
et le groupe LSDH, en charge de la mise en bouteille.
Il garantit aux producteurs visibilité, volumes sécurisés et prix révisables en fonction de leurs coûts de production.
« Pour nous, c’est un ancrage territorial important », souligne Bertrand Morand, responsable des partenariats filières chez Système U. « On veut valoriser la souveraineté alimentaire et l’agriculture française. Ce partenariat s’inscrit dans une logique de long terme, en travaillant sur des filières spécifiques et résilientes. »
Un engagement au cœur de l’ADN de LSDH
Cette démarche s’inscrit dans la continuité des contrats tripartites historiques du groupe LSDH dans le secteur du lait, qui ont contribué à renforcer des filières agricoles françaises sur le long terme. En rejoignant cette initiative, LSDH met une nouvelle fois son savoir-faire au service :
de la souveraineté alimentaire,
de la valorisation des terroirs français,
et d’une agriculture respectueuse de l’environnement.
Seule clémentine de France, labellisée IGP depuis 2007, la clémentine de Corse célèbre cette année ses 100 ans.
« Ce partenariat illustre parfaitement notre raison d’être : créer des filières solides et durables en s’appuyant sur des producteurs engagés, pour proposer aux consommateurs des produits français de qualité », souligne Emmanuel Vasseneix, Président de LSDH.
Our 2024 CSR Report highlights how, even in uncertain times, we remain committed to innovation, responsibility, and sustainable progress. It reflects our cautious optimism and our ability to make pragmatic choices, continuously improve our performance, and guide the necessary transitions.
At the heart of this journey lies the professionalism and commitment of our teams, supported by strong partnerships with our stakeholders. Together, we build trust, turn ambitions into reality, and contribute to the common good.
This year’s report showcases:
Governance for sustainability, fostering learning, collaboration, long-lasting relations, and education around balanced nutrition.
Continuous performance improvement, through new facilities, tools for sharing good practices, and audits confirming our progress.
Stronger connections, both inside and outside the company, combining rigor with respect, support, and protection.
Discover how these commitments are shaping a more sustainable and supportive future.
À l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, le Groupe LSDH publie son rapport RSE 2024. Ce document traduit une démarche construite dans la durée, portée par une gouvernance familiale, engagée dans les transitions environnementales, sociales et économiques avec cohérence et pragmatisme.
Ce rapport illustre une trajectoire claire, appuyée sur des actions concrètes et partagées à tous les niveaux de l’entreprise. Il met en lumière notamment :
Une stratégie climat structurée, avec déjà 33 actions de réduction carbone engagées
Le soutien actif à des filières agricoles locales et durables
Le développement de produits plus sains, sobres et mieux formulés
Un investissement fort dans la formation, la sécurité et l’engagement des équipes
Une culture RSE vivante, incarnée par le réseau Colibri sur l’ensemble des sites
Chaque action engagée s’inscrit dans un cap global : faire de notre modèle industriel un levier de transformation positive, au service de l’alimentation, des territoires, et des femmes et des hommes qui font vivre l’entreprise.
Livret RSE Filières 2024 : un engagement durable aux côtés des éleveurs
Depuis plus de 10 ans, la Laiterie de Saint-Denis-de-l’Hôtel construit, brique après brique, une filière laitière engagée, exigeante et responsable. Aux côtés de plus de 560 éleveurs, nous façonnons une filière qui conjugue savoir-faire, respect du vivant et innovation, pour répondre aux attentes croissantes de la société et des consommateurs.
Notre livret RSE Filières 2024, que nous avons le plaisir de partager aujourd’hui, dresse le bilan des actions menées cette année pour renforcer notre démarche sociétale, environnementale et économique sur l’ensemble de la chaîne laitière.
Bien-être animal : du diagnostic à l’amélioration continue
Depuis 2014, LSDH est précurseur dans la mise en place d’audits bien-être animal, avec des outils comme Boviwell. En 2024, 100 % des élevages ont été évalués, et plus de 90 % ont obtenu une note « Supérieur » ou « Excellent ». Ces résultats traduisent une attention quotidienne portée à la santé, au confort et à l’autonomie des troupeaux.
Une alimentation plus durable
99,8 % des élevages fournissent un lait issu d’animaux nourris sans OGM (<0,9%), et près de la moitié n’utilisent plus de soja importé. Notre engagement contre la déforestation passe aussi par une traçabilité renforcée des matières premières et une transition progressive vers une alimentation 100 % certifiée sans déforestation.
Climat, biodiversité et énergie : des actes concrets
90 % des élevages ont réalisé un diagnostic carbone CAP2ER, accompagné d’un plan d’action sur mesure.
44 % des exploitations produisent de l’énergie renouvelable (photovoltaïque, méthanisation…).
41 % réutilisent l’eau (récupération de pluie ou recyclage).
En moyenne, nos exploitations entretiennent 142 ha équivalent biodiversité (haies, prairies, jachères…).
Renouvellement des générations : investir dans l’avenir
Avec notre dispositif Start Box, nous accompagnons depuis 2015 l’installation de nouveaux éleveurs avec une aide financière, une formation spécifique et un prix du lait garanti. Ce sont plus de 150 jeunes éleveurs qui ont ainsi été soutenus sur tout le territoire.
Proximité, équité et transparence
Notre démarche RSE filières est basée sur un dialogue permanent avec les éleveurs, des audits réguliers, et une certification équitable indépendante par Bureau Veritas. Chaque mois, un commissaire aux comptes vérifie le prix payé aux producteurs : un gage de confiance pour tous les acteurs.
Une collecte zéro émission nette
Depuis 2021, nos camions de collecte roulent à l’Oléo 100, un carburant à base de colza français non OGM, réduisant de 60 % les émissions de gaz à effet de serre. En 2024, 100 % de notre collecte est réalisée avec cette énergie plus propre.
Le livret RSE Filières 2024 illustre notre conviction : l’agriculture est essentielle à notre avenir, et chaque acteur de la filière mérite d’être valorisé. Nous vous invitons à le découvrir en intégralité pour mieux comprendre notre vision et nos engagements.
Notre laiterie de Varennes-sur-Fouzon ouvre ses portes dans le cadre de la Journée Mondiale du Lait !
L’occasion pour nous de vous inviter à découvrir le savoir-faire des femmes et des hommes qui contribuent chaque jour à conditionner ce produit incontournable de l’alimentation :
à la laiterie de Varennes-sur-Fouzon (36), le 3 juin de 9h00 à 18h00.
à la laiterie de Saint-Denis-de-l’Hôtel (45), le 4 juin de 9h00 à 17h30
Au programme de la Journée Mondiale du Lait :
Visite (sur inscription) des ateliers de production, des zones de stockage et d’expédition.
Animations autour du lait (salle de traite, dégustation de cocktail de lait…), des engagements pour la filière laitière et des actions en faveur du Développement Durable.
Job dating sur inscription (de 9h00 à 18h00).
Tombola pour tenter de remporter un an de lait.
Visite d’une ferme à proximité (10 mn en voiture).
De nombreux professionnels seront présents dans une ambiance conviviale pour échanger. Ces passionnés seront heureux de partager les détails de leurs activités au service d’un produit français plus que jamais d’actualité : à la fois anti-crise et durable !
Les écarts de rémunération s’expliquent notamment parce que le site regroupe l’usine. L’objectif sera de se rapprocher étroitement des 40 points en passant sous la barre des 2% sous deux ans.
L’entreprise s’engage à maintenir une égalité de rémunération à l’embauche. Les grilles de rémunération restent en application pour calculer le salaire de base d’un nouvel embauché. Pour les postes hors grille, pour un profil comparable, les recruteurs s’assurent de fixer une rémunération équivalente tout en gardant une cohérence avec l’ensemble du service et de l’entreprise.
Tout au long de la carrière de ses salariés, LSDH s’assurera, grâce aux entretiens individuels et aux campagnes d’augmentations individuelles, de l’égalité salariale entre les femmes et les hommes. L’entreprise sera vigilante à réduire les éventuels écarts de rémunération pour un même niveau de responsabilité, de compétence, d’expérience professionnelle et de performance.
Dans le cas où un salarié estimerait faire l’objet d’écart de rémunération en raison de son sexe, il pourra solliciter un entretien avec le service des ressources humaines afin que sa situation soit examinée.
Ecart de taux d’augmentations individuelles : 20/20
Ecart de taux de promotion : 15/15
Plusieurs facteurs peuvent expliquer cet écart : notamment, différents départs ayant nécessité une réorganisation et des recrutements sur des postes de cariste et chefs d’équipe. Ces postes émanant de filières scolaires majoritairement « masculines », les promotions réalisées ont bénéficié majoritairement aux hommes.
Pour inciter les femmes à s’orienter dans ces filières, puis à nous rejoindre, LSDH poursuivra la promotion de ces métiers via les réseaux sociaux, les écoles ou sur le site internet, avec des témoignages de salariées.
Pourcentage de salariés ayant bénéficié d’un augmentation dans l’année suivant leur retour de congés maternité : 15/15
Nombre de salariés du sexe sous-représenté parmi les 10 plus hautes rémunérations : 0/10
L’entreprise veillera à la représentativité des femmes au sein des 10 plus hautes rémunérations. Dans le cas d’un départ ou d’une ouverture de poste, l’entreprise sera vigilante à faire abstraction du sexe des candidats au profit exclusif de la performance, de l’expérience, du cursus et du savoir-être…
Pour favoriser le recrutement des personnes du sexe sous-représenté au niveau du CODIR, l’entreprise s’engage à chasser et recevoir, des candidats du sexe sous-représenté »
Site de Varennes-sur-Fouzon
Note globale : 93/100
Ecart de rémunération : 38/40
Ecart de taux d’augmentations individuelles : 35/35
Pourcentage de salariés ayant bénéficié d’un augmentation dans l’année suivant leur retour de congés maternité : 15/15
Nombre de salariés du sexe sous-représenté parmi les 10 plus hautes rémunérations : 5/10
Site de Jus de Fruits d’Alsace
Note globale : 79/100, décliné par indicateurs comme suit :
indicateur écart de rémunération : 39
indicateur écart de taux d’augmentations : 0
indicateur écart de taux de promotions : 15
indicateur retour de congé maternité : 15
indicateur hautes rémunérations: 10
Indicateur : répartition des écarts de rémunération (39/40)
Les écarts de rémunération s’expliquent notamment par l’ancienneté dans le poste dans la même catégorie d’âge. L’objectif est de conserver la note la plus haute possible sur cet indicateur. • L’entreprise s’engage à maintenir une égalité de rémunération à l’embauche. Les grilles de rémunération restent en application pour calculer le salaire de base d’un nouvel embauché. Pour les postes hors grille, pour un profil comparable, les recruteurs s’assurent de fixer une rémunération équivalente tout en gardant une cohérence avec l’ensemble du service et de l’entreprise. • Tout au long de la carrière de ses salariés, JFA s’assurera, grâce aux entretiens individuels et aux campagnes d’augmentations individuelles, de l’égalité salariale entre les femmes et les hommes. L’entreprise sera vigilante à réduire les éventuels écarts de rémunération pour un même niveau de responsabilité, de compétence, d’expérience professionnelle et de performance. • Dans le cas où un salarié estimerait faire l’objet d’écart de rémunération en raison de son sexe, il pourra solliciter un entretien avec le service des ressources humaines afin que sa situation soit examinée.
• Cet écart en faveur des femmes s’explique par le nombre de femmes qui représente 30% de l’effectif. Lors des Augmentations Individuelle (AI) le nombre de femmes ayant bénéficié d’une AI est inférieur à celui des hommes, mais la proportion de femmes dans chaque catégorie étant plus faible, le pourcentage est mécaniquement plus élevé. • L‘écart le plus significatif concerne les cadres avec une différence de 17% en faveur des femmes. La direction sera encore plus vigilante pour les années à venir notamment sur l’attribution des AI des Cadres pour s’assurer de réduire cet écart.
Site de l’Abeille
Index : Non calculable
Ecart de rémunération : non calculable
Ecart taux d’augmentation individuelles : 15/35
Retour de congé maternité : non calculable
Nombre de salariés du sexe sous représenté parmi les 10 plus hautes rémunérations : 0/10
Découvrez le shooting de la carte de Voeux 2025 dédiée à nos collaborateurs qui ont changé de vie !